( 31 janvier, 2009 )

LE RICHE ET LE PAUVRE

1999                                                                                               Le riche se dit : ma vie est bien remplie ! Le pauvre lui ! il se dit ma vie n’a été que soucis !   

Le riche ne sait plus quoi acheter, Le pauvre lui, ne sait plus comment pleurer !   Tous les deux s’abreuvent d’alcool, 

Un pour passer de bonnes soirées, L’autre pour essayer d’oublier !   Le riche se lève joyeux le matin ! 

Le pauvre lui, reste la tête dans ses mains.   Le riche mange a satiété, Le pauvre lui compte ses pièces éparpillées 

  Le riche ne sait pas quoi faire de son temps ! Pour le pauvre ! Rien ne passe ! Même pas les ans.   

Le riche est toujours entouré d’amis, Le pauvre lui ! à lui , il se suffit.   Le riche est fort et bien portant ! 

Le pauvre lui ! N’est qu’une ombre dans le rang.   Le riche ne pense pas à ses funérailles ! Quant au pauvre,lui ! il dort sur la paille !!!!! 

  Pour chacun des deux, l’issue sera fatale !!!!  Ils mouront et resteront dans les anales !!   Le riche fera parler de lui,  Le pauvre quant à lui, restera dans l’oublie.   

( 31 janvier, 2009 )

LE FUNANBULE DU XXIème SIECLE

                                                                                                                                                                           13.12.2004   

    

LE FUNAMBULE DU XXIème SIECLE   

    

    

  Je suis le funambule du vingt et unième siècle. 

  Sur un fil suspendue…j’avance…pas à pas… les pieds sur cette corde raide, la tête en l’air… tout près des nuages ; cherchant à m’approcher du soleil ; du ciel… 

  Souvent je suis prête à perdre l’équilibre, la peur du vide ? La raison ? 

Font que je ne suis pas encore tombée.   

Entre ciel  et terre je me mets à rêver.   

Je suis le funambule du vingt et unième siècle.   

Partie d’un point de départ, il me faut atteindre l’arrivée fixée.   

Je suis engagée, il m’est impossible de faire marche arrière, IMPOSSIBLE Alors j’essaie d’avancer, sans me retourner, un pas devant l’autre, 

  Lentement, difficilement, j’avance. Voilà quelques centimètres de gagnés. 

  Absorbée par ce vide qui m’entoure, je suis seule en l’air ! 

La tête haute, les bras ouverts, je préserve ma dignité, et ne veut pas tomber.   

Le souffle court j’avance, Lentement, difficilement ! 

  D’en bas vous me regardez ! 

Beaucoup se disent : « alors elle va tomber ? » J’y pense et j’avance, 

Lentement, difficilement.   

Mon regard dirigé vers le haut, l’espoir de voir enfin arriver la FIN.   

Le souffle court, je continue, Le temps qui passe ne compte plus. 

  Sur cette corde raide suspendue, 

Un pied devant l’autre je ne peux rêver.   

La réalité est là, glaciale, paralysante et me crie vas y continue ! Le choix ? Tu ne l’à plus. 

  La moitié de mon parcours est effectué ! 

Peut-être plus encore…qui le sait ? Mais le reste est encore à faire. 

  Jusqu’à présent je me suis maintenue, 

Entre le ciel et la terre, je reste suspendue, J’entends mon cœur battre, combien de temps me laissera t-il lui ? 

Aucun bruit que celui de ma respiration.   

Ah ! Si j’avais des ailes, je m’envolerais, mais voilà je n’en ai pas ! Il me faut continuer.   

Le souffle court, Lentement, difficilement j’avance. 

  Pas le choix, pas de pitié ! 

Le début à commencer la         fin doit arriver.   

Je lève les yeux au ciel et pousse un cri de douleur intérieure. De l’aide ! Pitié de l’aide pour continuer. 

  Une voix me souffle : 

Tu peux y arriver, regarde en arrière le chemin que tu as déjà fait, Il ne te reste pas beaucoup à parcourir, tu vas réussir. 

  Suspendue dans les airs, 

Lentement, difficilement je m’ordonne d’avancer. Il n’y à plus que moi, je reste seule à penser. 

Cette distance me paraît infinie et pourtant le reste à faire n’est pas si long qu’il y paraît.   

La fatigue, le découragement, la peur, arriveront-ils à me faire chavirer ? Et tomber ?   

Ce funambule du XXIème siècle vous salut ! Vous pouvez lui souhaiter bonne chance, 

Il en à besoin, car il va continuer.   

    

                                                                                     FIN   

( 31 janvier, 2009 )

AVEC VOUS MES ENFANTS

Etre toujours être…

Croire, toujours croire,

Allez toujours plus loin,

Allez toujours plus haut,

Aimer, toujours aimer…

Aimer jusqu’à satiété.

Mélée à vous,

je vous crie, avancez!

Remplie d’énergie,

Je vous accompagnerais,

Toujours et sans jamais de : Mais!

Rires, bonheur et joie pour nous guider.

Forts de nos liens,

Forts de tout ce qui nous tient.

Ensemble dans l’aventure qu’est la vie,

Ensemble à partager nos soucis,

Ensemble pour la réussite.

A vous mes enfants, ma progéniture, mes racines, mon bonheur,

Je vous dédie ces lignes à vous que j’aime intensément

Pour vous je resterais votre maman,

Le plus beau rôle qui m’a été donné est de vivre à vos côtés.

( 31 janvier, 2009 )

AUJOURD’HUI

Aujourd’hui elle décide!

Pourquoi décideriez vous pour moi?

Je ne suis la propriété de personne!

Laissez faire la cloche qui sonne,

Même quand elle fait du bruit,

Vous savez qu’elle vit!

Laissez lui faire son choix,

Laissez la dans sa tour,

Laissez la rêver!

La tendresse, la compréhension,

Doivent être à l’unissons.

Rêver que tout ne va pas si mal,

Rêver, pourquoi pas à l’idéal?

Même si il n’existe pas!

Qu’en savez vous? vous?

Certes elle a beaucoup idéalisé,

Trés souvent elle s’est heurté,

Elle a souvent tendu la main,

Souvent on a pris son pain,

Qu’importe, elle se plaît à croire

Que la chaleur dans le coeur,

Peut s’épanouir comme une fleur.

La nature regardez!

La nature copiez!

Car elle vous apprendra,

Tout ce que vous avez oublié.

( 31 janvier, 2009 )

IL EST NE METISSE

IL EST NE METISSE

 

Il est né d’une histoire vraie, 

il est né métissé!

Son père noir de peau, sa mère blanche,

Il ne sait pas où s’orienter?

Ne le jugez pas c’erst un enfant,

Ne le condamnez pas, c’est Son enfant.

Elle lui a expliqué le bien et le mal,

Elle lui a montré où aller,

Mais il n’a pas voulu écouter.

IL EST NE D’UNE HISTOIRE VRAIE

IL EST NE METISSE

Aujouèrd’hui elle ne cesse de l’aimer,

Et prie chaque jour pour l’aider,

c’est son enfant, Elle l’a mis au monde,

Il est devenu grand.

Bébé il lui obéissait,

Plus grand, il s’est révolté!

Pourquoi? Puisqu’elle l’a toujours aimé et protégé?

IL EST NE METISSE

IL EST NE D’UNE HISTOIRE VRAIE

Si elle devait braver le feu,

Elle le ferait, pour lui elle le veut.

Il s’est mis à l’écart et souffre!

Pourquoi est-il tombé dans ce gouffre?

Fils réfléchit et choisit :

Choisis le vraie vie,

Celle que j’ai souhaité pour toi.

IL EST NE METISSE,

IL EST NE D’UNE HISTOIRE VRAIE

AVEC TANT D’AMOUR A DONNER.

Fils, Le monde, la vie, peuvent être beaux.

Je t’en prie prends le chemin de la vérité.

Souffrance pour toi et moi se multiplient,

Par mille quand je te vois.

Je suis là tout près de toi,

Regarde, retourne toi, je suis là!

Ne cherche plus!

Laisse tomber la rue.

Viens près de moi, rapproches toi,

je suis là je ne pars pas.

Je te montrerais ce que tu voudras,

Car je t’aime,

Je te réconforterais,

Car je t’aime,

Je continuerais de t’aimer,

Car je t’aime.

IL EST NE D’UNE HISTOIRE VRAIE

IL EST NE METISSE

IL VA S’ACCROCHER.

 

( 31 janvier, 2009 )

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